L’alphabétologie

UNE NOUVELLE SCIENCE SURGIT

L’alphabétologie se veut une science humaine basée sur les lettres de l’alphabet. Son objet d’étude est constitué :

  • Des faits historiques chronologiquement agencés
  • Des réalités limitantes, souvent inavoués ou dissimulées par leurs auteurs.

La démarche de l’alphabétologie consiste à révéler les ruses et les peurs cachées, ou à décoder les vérités officieuses, en se servant des interprétations et des opinions répandues. Il s’agit d’une forme de psychanalyse qui explore l’esprit humain, à partir de l’observation de ses manifestations extérieurs.

L’alphabétologie est comparable à la sérendipité, dans la mesure où elle dévoile des savoirs de la chance et de la sagacité. Ceux-ci sont souvent d’une pertinence bouleversante alors qu’on ne les attendait pas. Ils permettent de développer des théories nouvelles ou d’en étendre celles qui existent sur des nouveaux pans, afin d’en faciliter la compréhension.

Dans cette perspective, pour se rendre crédible, elle doit coller le plus possible à la réalité et à la vérité. Elle repose sa solidité sur les deux principes suivants. 

Il s’agit en premier lieu du sujet qui ne peut rien contre la réalité, même lorsqu’il tente de la dénaturer ou de la dissimuler. Un morceau de sucre demeure du sucre, même fondu dans un liquide amer. En d’autres termes, la politique de l’autruche, semblable à celle du masque, essaye toujours de cacher une dure réalité dont le mystère peut être révélé, malgré tout et à tout moment. Nos sens biologiques : vue, audition, odorat… doivent l’accepter, l’affronter ou bien s’y adapter en débarrassant cette réalité de l’illusoire.

En second lieu, étant donné que la vérité intéresse l’esprit, son expression doit obéir à la logique scientifique qui prône l’évidence. Tout ce qui est opposable à la vérité relève de l’artifice. Celui-ci s’inscrit dans l’univers de l’opinion, largement répandue, qui lui fait entorse, notamment dans l’aphorisme : toute vérité n’est pas bonne à dire. 

La vérité et la réalité sont, dans ces cas, intimement liées. Ils fondent notre néo-science. Nos jeux de mots ne suffisent pas à les masquer définitivement. Par l’alphabétologie nous parvenons à dévoiler ce qui se dissimule mal dans le subconscient universel de l’humanité. 

Cette révélation vise à nous retrouver dans ce que nous sommes réellement et que nous n’aurions jamais cesser d’être. Elle nous engage en plus à militer pour une dynamique de qualité en tout ce que nous faisons. L’amélioration sert l’humanité, sans partie pris, en l’élévant chaque jour davantage. La rationalité épistémologique doit prendre son encrage dans cette perspective humaniste.

Tous les hommes doivent sortir des pseudo-sciences para-humaines.  Ils doivent se consacrer aux sciences ouvertes à l’éthique, orientées vers l’éternité, afin de contribuer au développement humain. En effet, l’être humain a besoin de perpétuité. Il faut lui apporter, d’une manière transparente, des solutions adéquates à ses problématiques. En d’autres termes, cela signifie que nous ne devons pas nier ou dénaturer la réalité, ni la vérité, sous des prétextes et calculs dérisoires.

Ce positionnement nous évite de porter atteinte aux valeurs qui élèvent les hommes et nous permet d’échapper aux manœuvres limitantes du développement humain. Il maintient l’homme en éveil, afin qu’il préserve sa vie et mène son existence dans un environnement écologique maîtrisé.