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Nos trois objectifs majeurs

La stratégie SE.C.R.E.T.S a trois objectifs majeurs qui sont les suivant:

Simplifier le travail

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Soulager le travailleur

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Satisfaire les parties prenantes

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L’alphabétologie

UNE NOUVELLE SCIENCE SURGIT

L’alphabétologie se veut une science humaine basée sur les lettres de l’alphabet. Son objet d’étude est constitué :

  • Des faits historiques chronologiquement agencés
  • Des réalités limitantes, souvent inavoués ou dissimulées par leurs auteurs.

La démarche de l’alphabétologie consiste à révéler les ruses et les peurs cachées, ou à décoder les vérités officieuses, en se servant des interprétations et des opinions répandues. Il s’agit d’une forme de psychanalyse qui explore l’esprit humain, à partir de l’observation de ses manifestations extérieurs.

L’alphabétologie est comparable à la sérendipité, dans la mesure où elle dévoile des savoirs de la chance et de la sagacité. Ceux-ci sont souvent d’une pertinence bouleversante alors qu’on ne les attendait pas. Ils permettent de développer des théories nouvelles ou d’en étendre celles qui existent sur des nouveaux pans, afin d’en faciliter la compréhension.

Dans cette perspective, pour se rendre crédible, elle doit coller le plus possible à la réalité et à la vérité. Elle repose sa solidité sur les deux principes suivants. 

Il s’agit en premier lieu du sujet qui ne peut rien contre la réalité, même lorsqu’il tente de la dénaturer ou de la dissimuler. Un morceau de sucre demeure du sucre, même fondu dans un liquide amer. En d’autres termes, la politique de l’autruche, semblable à celle du masque, essaye toujours de cacher une dure réalité dont le mystère peut être révélé, malgré tout et à tout moment. Nos sens biologiques : vue, audition, odorat… doivent l’accepter, l’affronter ou bien s’y adapter en débarrassant cette réalité de l’illusoire.

En second lieu, étant donné que la vérité intéresse l’esprit, son expression doit obéir à la logique scientifique qui prône l’évidence. Tout ce qui est opposable à la vérité relève de l’artifice. Celui-ci s’inscrit dans l’univers de l’opinion, largement répandue, qui lui fait entorse, notamment dans l’aphorisme : toute vérité n’est pas bonne à dire. 

La vérité et la réalité sont, dans ces cas, intimement liées. Ils fondent notre néo-science. Nos jeux de mots ne suffisent pas à les masquer définitivement. Par l’alphabétologie nous parvenons à dévoiler ce qui se dissimule mal dans le subconscient universel de l’humanité. 

Cette révélation vise à nous retrouver dans ce que nous sommes réellement et que nous n’aurions jamais cesser d’être. Elle nous engage en plus à militer pour une dynamique de qualité en tout ce que nous faisons. L’amélioration sert l’humanité, sans partie pris, en l’élévant chaque jour davantage. La rationalité épistémologique doit prendre son encrage dans cette perspective humaniste.

Tous les hommes doivent sortir des pseudo-sciences para-humaines.  Ils doivent se consacrer aux sciences ouvertes à l’éthique, orientées vers l’éternité, afin de contribuer au développement humain. En effet, l’être humain a besoin de perpétuité. Il faut lui apporter, d’une manière transparente, des solutions adéquates à ses problématiques. En d’autres termes, cela signifie que nous ne devons pas nier ou dénaturer la réalité, ni la vérité, sous des prétextes et calculs dérisoires.

Ce positionnement nous évite de porter atteinte aux valeurs qui élèvent les hommes et nous permet d’échapper aux manœuvres limitantes du développement humain. Il maintient l’homme en éveil, afin qu’il préserve sa vie et mène son existence dans un environnement écologique maîtrisé.

A. 3- Principes clés de “secrets”

Des règles simples, générales et incitatives régissent l’approche “secrets”. On en dénombre six qui sont énoncées en des termes assez impersonnels afin de vous permettre de relever les dix enjeux fondamentaux du travail à succès. Nous vous présenterons ceux-ci dans dans la partie A. 6 de ce document et maintenant, les principes.

A. 3.1. Principe de corrélation

Lorsque vous travaillez, vous devez mobiliser diverses ressources, en vue d’induire un processus de production de biens, corrélativement aux besoins des consommateurs. Ainsi, la raison sociale de votre activité lie plusieurs parties prenantes. Parmi celles-ci se distinguent non seulement l’entreprise productrice et le destinataire des effets générés, mais également les fournisseurs, partenaires, collaborateurs, associés et intermédiaires dont les intérêts et les activités, interdépendants, gravitent autour de votre domaine d’actions. Toutes s’impliquent activement, telles des fourmis à la construction de leur niche, voire à l’assaut de leur pitance pour une finalité unique : leur bonheur. En effet, à tous les niveaux de votre travail, vous ne devez jamais perdre de vue la complexité des connexions et des interactions fonctionnelles entre vos différentes partenaires. Car ceux que nous désignons: “f.a.v.e.u.r.s”, à de degrés divers, doivent évoluer en synergie ou du moins en cohésion s’ils veulent réussir leur entreprise.

A. 3.2. Principe de rationalité

Le processus de travail obéit à une logique et une cohérence intrinsèques afin de suivre un itinéraire qui conduit à la jubilation. Il comprend trois étapes incontournables: la réflexion, la réalisation et l’évaluation aux degrés d’implications variables selon la performance compétitive des acteurs et le niveau technologique des instruments en jeu. Le hasard produit difficilement des effets bénéfiques. Il faut rester rationnel et raisonnable, c’est-à-dire simple, clair, précis, logique et ouvert à la critique dans les différentes étapes du travail, afin de garder le cap. L’objectivité et la finalité qui sont les mots-clés du travail exigent un fil d’Ariane normé. Il convient de le suivre selon une discipline rigoureuse, avec une attention soutenue par un tableau de bord adéquat pour parvenir au succès.

A. 3.3. Principe de valorisation

Le travail dans son cheminement habituel est un acte de production et de promotion de ressources. Il crée de la valeur ajoutée: son objectif essentiel, en augmentant le capital initial. Ainsi, les nouvelles valeurs acquises par le travail assurent l’entretien et la conservation des ressources durables et renouvelables, au risque de se saborder. Elles permettent par un processus plus ou moins linéaire d’accueillir des nouvelles ressources afin de remplacer celles qui sont amorties ou épuisées. Cette mise à niveau maintien le cap et favorise le développement des valeurs par lesquelles le travail tire son importance. Les valeurs du travail sont désignées par le terme générique de bien. Il existe d’ailleurs plusieurs types de bien, selon les besoins des hommes. Si le travail ne produit pas des biens ou des valeurs, il serait incapable de contribuer à l’épanouissement des populations et au renouvellement des générations.

A. 3.4. Principe de confiance

Le tissu de relations noué entre les acteurs principaux du travail et les personnes collatérales, dans toute chaîne de travail, doit son existence à un climat de confiance interne et externe réciproque. L’universalité des attentes plus ou moins réversibles, mêlée au jeu des intérêts, renforce la crédibilité des uns par rapport aux autres et tâche de renforcer la fidélité par la qualité des rendus. Le marché des biens est le lieu de la manifestation du crédit garanti à tous, sauf le pouvoir d’achat quelque peu discriminatoire entre ceux qui ont des fonds et ceux qui n’en ont pas ou en ont très peu. La confiance signifie en quelques sortes travailler ensemble ou avec d’autres personnes, sans méfiance ni nuisance, pour des valeurs partagées. C’est aussi, fonder et bâtir une culture commune basée sur les capacités des uns et des autres à produire des biens sollicités.

A. 3.5. Principe de compétence

La compétence est un concept polysémique. Elle correspond chez l’être humain au savoir en général. Elle est intellectuelle à la base, quand elle construit, mais aussi pratique, lorsqu’elle se déploie dans l’expression et/ou la production. En effet, chaque production humaine: spirituelle, abstraite, virtuelle ou concrète relève de la compétence. Le degré d’implication de la compétence et ses résultats conséquents débouchent donc sur la qualité des réponses apportées aux besoins des populations. C’est lapalissade que de dire qu’il n’y a pas de travail sans recours à la compétence. Cependant le travail à succès réclame une compétence idéalement préparée à produire, sans faute, les effets attendus. La compétence est en définitive une règle essentielle du travail; elle confère un pouvoir qui lui-même tire sa substance des savoirs acquis.

A. 3.6. Principe d’éthique: de l’intention à la jouissance

L’objet de l’éthique est le bien: en tant qu’il est capable de satisfaire mon intelligence et de construire mon bonheur. Comme science de la morale, l’éthique fonde son analyse sur les principes moraux qui mettent en exergue les valeurs; la plus essentielle étant l’être humain au bénéfice de qui tout travail doit s’accomplir. La démarche éthique débute dans l’esprit humain et s’accomplit en faveur de l’homme intégral. Car l’éthique place l’homme sur la voie du bonheur et interpelle sa conscience afin qu’elle se conforme aux normes en tant que valeurs.

La règle éthique prescrit de transformer une idée conçue en un bien capable de satisfaire les besoins des bénéficiaires. Ce bien peut être palpable ou intangible, concret ou virtuel. Le processus de son obtention respecte un itinéraire composé de cinq étapes qui vont de l’intention à la jouissance en passant par la délibération, le choix et l’opération. La lumière de l’esprit conditionne l’atteinte de la finalité avec des référentiels qui propulsent les valeurs au devant de la scène. Avec cet éclairage on ne doit point se détourner de la perspective d’une vie meilleure caractérisée par un développement intégral et durable.

Les six principes de “secrets” énoncés ci-dessus sont à respecter scrupuleusement. Car ils sont nécessaires et assez suffisants pour garantir un travail de qualité et générer des effets conséquemment bénéfiques, dans une dynamique portée par un socle mystique vers l’éternité. Ils évoquent les atouts axiomatiques plus ou moins visibles des acteurs, les conditions d’action et la pertinence des objectifs d’épanouissement recherchés. La suite de l’étude devra préciser les circonstances favorables à l’accomplissement de ce type de travail. Mais avant, les caractéristiques de “secrets” sont à appréhender pour une appropriation aisée et canonique des outils de cette démarche. Ils sont les indicateurs sur lesquels vous devriez vous appuyer pour vous assurer de la conformité du processus.

B. 9.4. L’évaluation: indispensable au progrès

L’évaluation est dans la pratique de travail une étape indispensable. Elle est destinée à formuler une appréciation sur les conditions, les processus et/ou les effets du travail, afin de préciser leurs niveaux de performance, de crédibilité et de satisfaction. Elle rassure que :

  • l’objet évalué est de qualité ou à l’opposé, qu’il est à déclasser;
  • que les objectifs visés au travail sont atteints
  • et que l’envergure des performances est signigicative. C’est pourquoi toutes les situations de travail appelent un avis, un jugement ou une appréciation de nature à améliorer les opérations et à garantir le succès. Cependant si les hommes répugnent généralement la critique, à cause de ses penchants parfois dévalorisants, celle-ci demeure le moyen le plus sûr de l’ajustement, de la structuration, de la motivation et du développement. En effet, la critique marque l’instant de vérité en ceci qu’elle permet de s’assurer que les enjeux du travail ont été parfaitement ou non relevés. Dans ce contexte de vérification, aucune ressource n’échappe à l’analyse ou à la comptabilité. Car par ce crible de la pensée, de l’épreuve des sens et de l’opportunité de l’intuition passent la portée des compétences, la fiabilité des procédés, la crédibilité des processus et la qualité des fruits du travail.

Lorsqu’on évalue le travail, les parties prenantes s’enrichissent des opportunités de mieux se pourvoir, de s’amender ou de s’améliorer. Évidemment, la critique doit être conduite avec objectivité et pertinence. Elle doit mettre en exergue les limites et les erreurs susceptibles d’être évitées ou corrigées, en vue de redynamiser les maillons de la chaîne de travail, de les enrichir avec des voies de remédiation nouvelles d’une part et de déterminer les actes et les démarches favorables aux résultats lles plus probants d’autre part. L’évaluation structurée suppose un encadrement adéquat pour s’assurer que les procédures et les procédés idoines sont non seulement maîtrisés mais aussi judicieusement respectés, en cohérence avec les objectifs fixés. Le suivi et le contrôle sont corrélatifs de l’évaluation parce qu’ils rassurent, par la surveillance et l’encadrement, dans un climat de confiance, sur l’atteinte parfaite des objectifs, l’aboutissement des stratégies et le succès des opérations mises en œuvre.
Plusieurs types sont susceptibles de rendre compte des effets de l’évaluation : à savoir vérifier que le travail a réussi à relever ses enjeux essentiels et ainsi qu’il est parvenu à satisfaire les attentes pour lesquelles il a été engagé. Lorsque le travail ne réussit pas, en quantité ou en qualité, à satisfaire les attentes, il faut le recentrer ou réorienter ses axes majeurs en précisant davantage ses objectifs, en stimulant ses actions et en optimisant les performances de toutes les ressources mises en place. Huit formes d’évaluation suffisamment significatives sont présentées dans le cadre de cette démarche, pour rendre compte de cette étape essentielle et déterminante du travail. En dehors de toute évaluation, aucune accréditation favorable ne peut aboutir ou une homologation évidente être accordée.
B. 9.4.1 Le contrôle
Le contrôle est un processus de supervision et de vérification des opérations de travail. Il vise à suivre le cours de la démarche appliquée dans le déroulement d’un travail afin de s’assurer de la conformité des diverses ressources en jeu et des effets produits par leurs contributions en rapport aux diverses attentes. L’existence d’un projet élaboré et traduit par un plan d’actions cohérent avec des objectifs fixés d’accord parties dans des contextes favorables constituent les principaux indicateurs du contrôle. Celui-ci permet d’examiner, au peigne fin si besoin est, les produits générés ou les outils et les documents exigés par un travail, afin de voir s’il y a adéquation entre les ressources mises en place et les résultats obtenus ou envisagés.
En effet, le travail procède principalement du climat de confiance entretenu entre les personnes qu’il implique et assurément celles qu’il intéresse. Mais il est communément dit: “La confiance n’exclut pas le contrôle.” Cependant il convient de relever que la confiance suppose la disponibilité, la serviabilité et la compétence offertes au monde pour assurer, dans un engagement total, un contrôle désirable, à considérer comme un net stimulus du travail.
En management des affaires, cette évaluation est dite contrôle de gestion. Elle consiste à penser, produire et élaborer des outils de mesure, de vérification et de guidage des processus de production dans des organisations. Grâce au contrôle de gestion l’on parvient à mesurer les performances de l’entreprise pour un management à succès.
Le contrôle apparaît donc comme une nécessité que doit conduire un expert dans le domaine ou une équipe mandatée à cet effet. Le contrôle peut s’effectuer sur le terrain ou au travers des dossiers, avec à terme un état des lieux, des observations et des recommandations qui permettent de progresser dans la bonne direction. Il permet de formuler des appréciations qui doivent autant que possible refléter la réalité afin de stimuler les énergies diverses.
En résumé, le contrôle intervient pour sanctionner un processus stratégique et opérationnel, non pas pour l’arrêter s’il peut encore produire des effets positifs, mais pour en dévoiler les faiblesses en vue de leur transformation positive. En effet, grâce à la mise à jour, avec une méthode cohérente, une stratégie efficace et des opérations techniquement effectives, les manquements doivent se muer en autant d’opportunités appréciables que possibles.

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